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tigre blanc:
Le tigre blanc est un tigre de l'espèce Panthera tigris, mais qui se caractérise par son pelage blanc (de couleur crème à coquille d'œuf) rayé de noir ou de marron. Ses yeux sont bleus et le nez est rose. Il est en général plus grand qu'un tigre normal. On considère qu'il s'agit d'une mutation autosomale récessive nommée chinchilla[réf. nécessaire], rencontrée chez d'autres mammifères, notamment le chat domestique et le lapin. Il n'existe pas de cas d'albinisme reconnus. De nombreux cas de tigres entièrement blancs, sans aucune rayure, ont été reportés, mais il s'agissait de tigres dont la coloration était très pâle, et non pas inexistante. Pour paraître plus impressionnant, les tigres blancs sont souvent croisés avec le tigre de Sibérie, la plus grande sous-espèce de tigre.
Le nom scientifique Panthera tigris uncia lui est parfois attribué, mais n'a aucune valeur scientifique car le tigre blanc ne constitue pas une sous-espèce
tatou:
Les tatous (Cingulata) sont un ordre d'Amérique tropicale et subtropicale du super-ordre des xénarthres (anciennement super-ordre des édentés). Les tatous actuels sont rangés dans deux familles, celle des Dasypodidae et celle des Chlamyphoridae. Parmi les espèces fossiles, on distingue les glyptodons, classées avec les Chlamyphoridae. Ils sont omnivores même si leur régime alimentaire est principalement composé d'insectes (chenilles, fourmis, larves...).
Ils sont reconnaissables à leurs plaques cornées formant une carapace défensive lorsqu'ils se roulent en boule.
Renard:
Plus petit que son cousin le renard roux, il mesure entre cinquante centimètres et un mètre et pèse environ cinq kilogrammes. Ses oreilles sont plus petites que celles du renard roux et son museau est plus court.
Le renard polaire est le seul canidé à présenter un dimorphisme saisonnier1. Sa fourrure lui permet de limiter la déperdition thermique, un atout qui lui est vital étant donné son environnement polaire. Sa fourrure blanche en hiver lui permet de mieux se fondre dans le décor neigeux de son habitat. En été, son pelage est brun foncé. Il se sert de sa longue queue pour recouvrir son museau et ses pattes lorsqu'il dort. Son espérance de vie en liberté est de dix à quinze ans. Il se nourrit essentiellement de petits animaux qu'il repère grâce à son ouïe fine comme les lemmings ou les lièvres polaires, les oiseaux et leurs œufs. Il s’approvisionne aussi sur les carcasses de phoques et de rennes laissées par les ours blancs et les loups.
La fourrure du renard polaire est très efficace contre les déperditions de chaleur, ce qui explique pourquoi il a été chassé par l'Homme pour faire des manteaux. Elle est capable de le protéger contre des températures extérieures pouvant descendre jusqu'à -45°C. Les renards polaires ont aussi pour habitude de se protéger en se roulant en boule, plaçant leurs pattes et leur tête sous leur corps et derrière leur queue, la position qui donne à leur corps le plus faible rapport entre la surface exposée et son volume.
Bien qu'ils n'hibernent pas, ils tendent à se protéger des vents d'hiver en restant dans leurs terriers. Ils se créent des réserves de graisse durant l'automne, augmentant parfois leur masse de plus de 50%. Cela isole mieux leur corps durant l'hiver et leur fournit une réserve d'énergie.
Le chat domestique mâle est couramment appelé un « chat » tandis que la femelle est appelée « chatte »2 et le jeune un « chaton »3,4,5.
Le mot chat vient du bas latin cattus, qui, d’après le Littré (édition de 1878), provient du verbe cattare, qui signifie guetter, ce félin étant alors considéré comme un chasseur qui guette sa proie. Cette interprétation porte cependant à controverse, au vu des termes utilisés dans certaines langues afro-asiatiques (berbère kadiska)6 ou nilo-sahariennes (nubien kadis)6. En latin classique, « chat » se dit felis (d’où, en français, félin, félidés, etc.), mais désigne uniquement le chat sauvage d’Europe, tandis que cattus s’applique au chat domestique7.
On désigne aussi plus familièrement le chat par minet ou minou et la chatte par minette. Ce terme, attesté dès 1560, provient de mine, nom populaire du chat en gallo-roman. Ce mot est à l’origine de l’expression dès potron-minet, qui signifie « de bon matin ». D’après le Littré, il s’agirait d’une déformation de paître au minet, c’est-à-dire du moment où le chat, qui se lève tôt, va chercher son paître : sa pâture, sa nourriture… Cette explication doit sans doute à la pudeur de cet auteur du XIXe siècle : selon Claude Duneton8, cette expression provient de poitron-jacquet, jacquet désignant un écureuil (animal matinal marchant la queue levée) et poitron désignant le postérieur. Dès potron-minet signifie donc : « à l’heure où l’on voit le derrière du chat ». Quant au « minet » ou à la « minette » qui « fait des mines », lorsque ce terme est appliqué à l’être humain, c’est un jeune homme ou une jeune fille qui s’efforce de plaire et se préoccupe beaucoup de son apparenceA 1.
Un chat mâle non castré est un « matou », terme à l’origine incertaine qui viendrait peut-être d’une dérivation de mite comme dans chattemite9. Le chat est aussi nommé familièrement « mistigri », mot-valise composé du préfixe miste, signifiant adroit, et de gris, la couleur10.
En argot, un chat s’appelle un « greffier »11,12,13. Deux explications s’opposent, qui peut-être n’en font qu’une : d’une part, le jeu de mots sur griffe est évident ; d’autre part, la fourrure de certains chats noirs comporte une sorte de plastron blanc sur le poitrail, et celui-ci évoque le rabat blanc que l’on voit sur la robe noire des greffiers à l'audienceA