UN GRAND CHASSEUR

Comme tous les carnivores, le chat est un chasseur. Même lorsqu’il est domestique et qu’il n’a pas besoin de chasser pour se nourrir, il continue de poursuivre des proies vivantes. Ses talent de chasseur son du à son grand champ de vision (plus grand que chez l’homme et le chien) et a son ouïe très fine. Il utilise peut son flair. Les chatons apprennent très tôt les gestes de la chasse en imitant leur mère. Quand ils ont six semaines, la chatte leur apporte un oiseau ou un petit rongeur et leur apprend à le tuer. Puis elle leur montrera comment reconnaître les proies, s’embusquer et attaquer. 

Tout se qui bouge fascine le chat et excite sa curiosité.

Un saut géant pour attaquer

Quand le chat est près à attaquer, il s’avance rapidement en fouettant l’air avec se queue. Il rassemble ensuite ses quatre pattes pour sauter. Puis il fonce en gardant toujours deux pieds pour appuyés sur le sol, au cas où il devrait soudain battre en retraite. Le corps étiré et les pattes tendues, il bon dit sur sa proie. Il arrive sur ses quatre pattes directement sur sa proie ou juste à côté. Sa queue dirigée comme un gouvernail, lui permet de garder l’équilibre.

A l’affut

Tapis dans l’herbe, immobile et silencieux, le chat peut rester des heures entières à guetter une proie. Il la repère avec ses yeux et s’avance lentement, le corps aplati contre le sol. Comme les coussinets de ses pattes sont entourés de poils, il marche sans bruit et attaque sa proie par surprise. Le chat adopte cette attitude même avec un jouet.

La capture, un jeu

Le chat saisit la souris dans sa gueule et la maintient entre ses pattes. Souvent, avant de la tuer à coups de dents et de griffes, il s’amuse avec elle longtemps et lui donne des petits coups de pattes de temps en temps pour voir si elle bouge encore. Quand la souris ne manger réagit plus, il se décide enfin à la manger. S’il n’est pas affamé, il la laisse simplement sans vie.

Ses proies préférées